Jacques Coulais a dévoré et digéré d'autres aventures...
Expériences picturales, sans perdre un instant pour aboutir à l'expression pure du passage d'une vie qui traverse le carré, sa terre est carrée. Il n'y a ni début, ni fin, la peinture ne peut être, quelque part, que le témoignage d'un instant, d'une portion de temps.
Jacques aurait aimé que nous mettions ce type d'œuvre en exergue....
Il n'y a pas de titre, mais son cheminement et l'aboutissement de ses recherches se condensent là : laisser la trace de son passage, s'incruster dans le sol, mêler la couleur à cette vie d'aventures, quelle gravité, quelle force !
Jacques aurait aimé que nous mettions ce type d'œuvre en exergue....
Il n'y a pas de titre, mais son cheminement et l'aboutissement de ses recherches se condensent là : laisser la trace de son passage, s'incruster dans le sol, mêler la couleur à cette vie d'aventures, quelle gravité, quelle force !
Le
fauteuil roulant est devenu le pinceau libérateur, émancipateur...

(il
préparait une toile sur le sol, des réserves de peintures à l'extérieur et
dirigeait ensuite son fauteuil dont les roues enduites de couleurs pouvaient
fixer ses déplacements sur la toile).
Je vous livre ici d'autres
œuvres qui me touchent :
Une peinture ancienne,
très construite, déchirante, ces grandes barres pesantes enferment la figure, la présence du peintre,
mais, il va se battre, la couleur est là, point de prison...
Des tensions dans ce carré,
des signes qui se cherchent plus qu'ils n'indiquent, tantôt ludiques tantôt
graves...
Et une aquarelle que
j'aime beaucoup, joyeuse...
(Avec la permission de l'APBP et de VDMFK pour le copyright.)
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